Zeitgeist – Troisième partie

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 Ne Faites pas Attention aux Hommes dans les Coulisses

Sir William Pitt, House of Lords 1770 – Il y a derrière le trône quelque chose de plus puissant que le roi lui-même.

Benjamin Dislaeli English Statesmen 1844 – Le monde est gouverné par des personnages très différents de ce que s’imaginent ceux qui ne sont pas dans les coulisses.

Franklin D Roosevelt US President 1933 – La vérité en la matière est qu’un élément financier dans les grands centres possède le gouvernement des Etats-Unis depuis l’époque d’Andrew Jackson.

La Guerre de l’Indépendance Américaine commença en 1775, quand les colonies américaines cherchèrent à se séparer de l’Angleterre et de sa monarchie oppressive. Bien que de nombreuses raisons soient citées pour la révolution, une d’entre elles se distingue particulièrement comme étant la principale : que le roi d’Angleterre George III interdit la monnaie indépendante et libre de tout intérêt que les colonies produisaient et utilisaient, les forçant alors à emprunter, avec intérêts, de l’argent à la Banque Centrale d’Angleterre, ce qui les endetta immédiatement. Et comme l’écrivit plus tard Benjamin Franklin : Le refus du roi George III de permettre aux colonies d’opérer un système monétaire honnête, qui libérait l’homme ordinaire des griffes des manipulateurs financiers, fut sûrement la cause principale de la révolution.

En 1783, l’Amérique gagna son indépendance vis-à-vis de l’Angleterre. Toutefois, la bataille contre le concept de banque centrale, et contre les hommes avides et corrompus associés à elle, venant de commencer. Mais qu’est-ce qu’une banque centrale ? Une banque centrale est une institution qui produit la monnaie d’une nation entière.

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D’après les précédents historiques, deux pouvoirs spécifiques sont inhérents aux pratiques d’une banque centrale. Le contrôle des taux d’intérêts, et le contrôle de la masse monétaire, soit l’inflation. Une banque centrale ne fait pas que fournir de l’argent à l’économie d’un gouvernement, mais elle lui prête, avec intérêts. Ensuite, en usant de l’augmentation ou de la diminution de la masse monétaire, la banque centrale régule la valeur de la monnaie utilisée. Il est crucial de comprendre que la structure entière de ce système ne peut produire qu’une seule chose à longue échéance : de la dette. Il n’y a pas besoin d’être Polytechnicien pour démasquer cette arnaque. Chaque dollar produit par la banque centrale est prêté avec intérêts. Cela veut dire que chaque dollar produit est en fait un dollar plus un certain pourcentage de dette qui est basé sur ce dollar. Et puisqu’une banque centrale détient le monopole de l’émission monétaire du pays entier, et qu’elle prête chaque dollar en y attachant instantanément de la dette, d’où vient alors l’argent qui sert à rembourser cette dette ? Il ne peut à nouveau venir que de la banque centrale. Ce qui veut dire que la banque centrale doit perpétuellement augmenter la masse monétaire pour couvrir temporairement la dette à régler ainsi créée, cette dernière engendrant alors encore plus de dette, puisqu’elle est également remboursée avec de l’argent emprunté avec intérêts ! Le résultat final de ce système inévitablement, est l’esclavage. Car il est impossible pour le gouvernement, et donc le peuple, de se dépêtrer de cette dette autogénèrée. Les pères fondateurs de ce pays étaient bien conscients.

« Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses qu’une armée debout… Si le peuple américain permet un jour aux banques privées de contrôler l’émission monétaire… les banques et les entreprises qui fleuriront autour de lui priveront le peuple de ses possessions jusqu’à ce que ses enfants se retrouvent un jour sans-abri sur le continent conquit par leurs pères. » – Thomas Jefferson, 1743-1826

« Si vous voulez continuer à être les esclaves des banquiers et à payer le coût de votre propre esclavage, laissez-les continuer à créer l’argent et à contrôler la dette du pays.» – Sir Josiah Stamp 1880-1941

Dès le début du 20ème siècle, les Etats-Unis avaient déjà mis en place puis retiré quelques systèmes de banque centrale, qui avaient frauduleusement été mis en place dans l’impitoyable intérêt des banques. A cette époque, les familles dominantes dans le monde de la banque et des affaires étaient : les Rockefeller, les Morgan, les Warburg, les Rothschild.

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Et au début des années 1900, elles cherchèrent encore une fois à faire passer une loi visant à créer une autre banque centrale. Cependant, elles savaient que le gouvernement et le peuple étaient fatigués par de telles institutions. Elles devaient donc créer un incident qui affecterait l’opinion publique. Ainsi, J.P. Morgan, qui était publiquement considéré comme un des phares de la finance à cette époque, exploita son influence de masse en publiant la rumeur qu’une banque importante de New York était insolvable ou en banqueroute. Morgan savait que cela provoquerait une hystérie collective qui affecterait également d’autres banques, et c’est ce qui se passa. Le peuple, effrayé par l’idée de perdre ses placements, effectua immédiatement des retraits de masse. En conséquence de quoi les banques se virent contraintes de demander un remboursement anticipé de leurs prêts, ce qui obligea leurs bénéficiaires à vendre leurs biens, entraînant ainsi une spirale de banqueroutes, de reprises de possession, et de tourmente.

Après avoir reconstitué les pièces du puzzle quelques années plus tard, Fredrik Allen de LIFE Magazine écrivit : « Les intérêts des Morgan gagnèrent à précipiter la panique de 1907, la guidant astucieusement dans sa progression.»

Ignorant la fraude, la panique de 1907 entraîna une enquête du Congrès, menée par le sénateur Nelson Aldrich qui était étroitement lié aux cartels bancaires et entra plus tard dans la famille des Rockefeller, par mariage. La commission menée par Aldrich recommanda qu’une banque centrale soit mise en place pour qu’une panique comme celle de 1907 « ne puisse jamais se reproduire ». Ce fut l’étincelle dont les banquiers internationaux avaient besoin pour initier leur plan. En 1910, une réunion secrète fut tenue dans une résidence de J.P. Morgan sur l’Ile de Jekyll au large des côtes de la Georgie. C’est la que fut rédigé le projet de loi de banque centrale appelée la Loi de la Réserve Fédérale (« Federal Reserve Act»). Cette loi fut écrite par des banquiers, et non par des législateurs. Cette réunion était tellement secrète, tellement dissimulée aux yeux du gouvernement et du peuple, que les 10 personnes environ qui y assistaient maquillèrent leur nom avant de partir pour l’Île. Après que ce projet de loi fut élaboré, il fut transmis à leur représentant politique, le sénateur Nelson Aldrich, pour qu’il le fasse passer devant le Congrès. Et en 1913, avec l’aide d’abondants financements politiques provenant des banquiers, Woodrow Wilson devint Président, ayant déjà accepté de signer la Loi de la Réserve Fédérale en échange du soutien de sa compagne politique. Et deux jours avant Noel, alors que la majorité des membres du Congrès étaient chez eux en famille, le projet de Loi de la Réserve Fédérale fut adopté, et Wilson en fit ensuite une loi.

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« (Notre) grand pays industriel est contrôlé par son système de crédit. Notre système de dette est concentré dans le privé. En conséquence, la croissance du pays ainsi que toute nos activités sont entre les mains de quelques hommes… qui forcément en raison même de leurs propres limitations, gélent et limitent et détruisent la véritable liberté économique. Nous sommes devenus un des gouvernements le plus mal régi, le plus entièrement contrôlé et dominé, des gouvernements du monde civilisé – ce n’est plus un gouvernement de libre opinion, un gouvernement de conviction élu par le vote de la majorité, mais un gouvernement de l’opinion et de l’emprise de petits groupes d’hommes dominants.» – Woodrow Wilson

Après le vote de la loi, le membre du Congrès Louis McFadden présenta lui aussi la vérité : « Un système bancaire mondial fut mis en place ici… un ‘super-Etat’ contrôlé par des banquiers internationaux… agissant conjointement afin d’asservir le monde pour leur propre plaisir. La Réserve Fédérale s’est approprié le gouvernement. »

Il avait été dit au peuple que le Système de la Réserve Fédérale était un stabilisateur économique. Et que l’inflation et les crises économiques appartenaient au passé. Et bien, comme l’Histoire l’a démontré, rien n’est plus éloigné de la vérité. Le fait est que les banquiers internationaux détenaient désormais une machine efficace pour élargir leurs ambitions personnelles. Par exemple, de 1914 à 1919, la Réserve Fédérale augmenta l’émission d’argent de près de 100%. En conséquence de quoi des sommes considérables furent prêtées aux petites banques et au public.  Ensuite, en 1920, la Réserve Fédérale exigea le remboursement d’un pourcentage significatif de la masse monétaire qui lui était due, ce qui obligea donc les banques la soutenant à réclamer le remboursement d’un nombre énorme de prêts, et, tout comme en 1907, les liquidations bancaires, les banqueroutes, et l’effondrement de l’écomonie survinrent. Plus de 5400 banques en concurrence avec le Système de la Réserve Fédérale s’effondrèrent. Consolidant ainsi encore plus le monopole d’un petit groupe de banquiers internationaux. Conscient de ce crime, le membre du Congrès Lindbergh se leva et dit, en 1921 :

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« Sous la Loi de la Réserve Fédérale, les paniques sont créées scientifiquement. La présente panique est la première créée scientifiquement, organisée comme on formule une équation mathématique. »

Néanmoins, la panique de 1920 n’était qu’un échauffement. De 1921 à 1929, la Réserve Fédérale augmenta encore la masse monétaire, en conséquence de quoi des sommes considérables furent à nouveau empruntées par le peuple et par les petites banques. Il y avait aussi un type assez nouveau de prêt en bourse, appelé « prêt sur marge ». En gros, un prêt sur marge permettait à l’investisseur de ne payer que 10% du prix d’une action, les 90% restants étant avancés par le broker. En d’autres termes, une personne pouvait posséder 1000$ d’actions en n’investissant que 100$. Cette méthode était très populaire dans l’effervescence des années 20, car il semblait que tout le monde gagnait de l’argent en bourse. Cependant, il y avait un revers de la médaille à ce type de prêt. Leur remboursement pouvait être exigé à tout moment, et devait avoir lieu dans les 24 heures. Cette pratique s’appelle un « appel de marge », et le résultat typique d’un appel de marge est la vente des actions acquises avec le prêt. Ensuite, quelques mois avant octobre 1929, J.D Rockefeller, Bernhard Barack, et d’autres initiés, sortirent discrètement du marché, et le 24 octobre 1929, les financiers de New York qui avaient fourni les prêts sur marge commencèrent à exiger leur remboursement, en masse. Cela engendra instantanément des liquidations massives en bourse, car tout le monde devait couvrir ses prêts sur marge.

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Cela causa alors, pour les mêmes raisons, une insolvabilité massive des banques, et l’effondrement de plus de 16000 banques s’ensuivit, permettant aux banquiers internationaux conspirateurs non seulement de racheter les banques rivales à moindres frais, mais aussi de racheter des entreprises entières au centième de leur prix. Ce fut le vol le plus grand de l’Histoire de l’Amérique. Mais cela ne s’arrêta pas là. Au lieu d’accroître la masse monétaire pour sortir de cet effondrement économique, il se trouve que la Réserve Fédérale la réduisit, nourrissant ainsi une des plus grandes dépressions de l’Histoire. Une fois de plus outragé, le membre du Congrès Louis McFadden, un opposant de longue date du cartel bancaire, initia des procédures de destitution contre le conseil d’administration de la Réserve Fédérale, en disant, à propos du crash et de la dépression : « Ce fut un événement soigneusement orchestré. Certains banquiers internationaux cherchèrent à provoquer une situation de désespoir, pour qu’ils puissent en sortir comme maîtres du monde. » Après deux précédentes tentatives d’assassinat ce ne fut pas une surprise que McFadden fut empoisonné lors d’un banquet avant qu’il ne puisse faire passer la destitution.

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Alors, après avoir réduit la société à néant, les banquiers de la Réserve Fédérale décidèrent que le système monétaire de l’étalon-or devait être supprimé. Pour ce faire, ils devaient acquérir l’or restant dans le système. Ainsi survint, sous le prétexte d’aider à combattre la dépression, la saisie d’or de 1933. Sous la menace de 10 ans d’emprisonnement, tout le monde aux Etats-Unis fut dans l’obligation de rendre tout lingot d’or au Trésor, ce qui revenait essentiellement à démunir le peuple du peu qui lui restait. A la fin de 1933, l’étalon-or fut aboli.

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Si on regarde un billet en dollars d’avant 1933, il y est écrit qu’il est échangeable contre de l’or. Si on regarde un billet en dollars de nos jours, il y est écrit qu’il a cours légale, ce qui veut dire qu’il n’est avalisé par absolument rien. C’est du papier sans valeur. La seule chose qui donne de la valeur à notre argent est sa quantité en circulation. Par conséquent, le pouvoir de réguler la masse monétaire est aussi le pouvoir de réguler sa valeur, ce qui est aussi le pouvoir de mettre à genoux des économies et des sociétés entières.

« Donnez-moi le contrôle sur la monnaie d’une nation, et je n’aurai pas à me soucier de ceux qui font ses lois. » – Mayer Amschel Rothschild, Fondateur de la dynastie des banquiers Rothschild.

Il est important de comprendre clairement : la Réserve Fédérale est une entreprise privée. Elle est à peu près aussi « Fédérale » que l’est « Federal Express ». Elle édicte ses propres règles, et ne fait virtuellement l’objet d’aucune réglementation du gouvernement des Etats-Unis. C’est une banque privée qui prête toute devise au gouvernement avec intérêts, ce qui est totalement consistant avec le modèle frauduleux de banque centrale auquel le pays tenta d’échapper lorsqu’il déclara son indépendance durant la Révolution Américaine.

Maintenant, en revenant à l’année 1913, la Loi de la Réserve Fédérale n’est pas le seul projet de loi anticonstitutionnel qui fut passé devant le Congrès. Ils passèrent aussi l’impôt fédéral sur le revenu. Cela vaut la peine de noter que l’ignorance du peuple américain envers l’impôt fédéral sur le revenu témoigne de son véritable niveau d’abêtissement et d’inconscience. Premièrement, l’impôt fédéral sur le revenu est complètement anticonstitutionnel, puisque c’est un impôt direct et indépendant des Etats. D’après le Constitution, les impôts directs doivent dépendre de chaque Etat afin d’être légaux. Deuxièmement, le nombre requis d’Etats pour ratifier l’amendement autorisant l’impôt sur le revenu n’a jamais été atteint, et ce fait a même été cité dans des procès contemporains.

« Si vous examinez attentivement le 16ème amendement, vous trouveriez qu’un nombre suffisant d’Etats n’a jamais ratifié cet amendement. » – James C. Fox, Juge d’un des tribunaux de grande instance américains, 2003.

Troisièmement, de nos jours, environ 25% du revenu d’un travailleur moyen lui est soutiré par cet impôt. Et devinez à quoi sert cet argent ? Il sert à payer les intérêts sur la monnaie émise par la frauduleuse Réserve Fédérale, un système qui n’a pas à exister du tout. L’argent que vous gagnez en travaillant pendant près de 3 mois de l’année va littéralement dans les poches des banquiers internationaux, à qui la Réserve Fédérale, banque privée, appartient. Et quatrièmement, même avec l’affirmation frauduleuse du gouvernement de la légalité de l’impôt sur le revenu, il n’existe pas de statut, pas de loi, qui requière que vous payiez cet impôt. Un point c’est tout.

Joe Turner Former IRS Agent– Je m’attendais vraiment à ce qu’il y ait, bien sûr, une loi écrite à laquelle on peut faire référence, qui nous oblige à remplir une déclaration d’impôts. Bien sûr il y en a une. J’en étais au point où je ne pouvais trouver le statut qui obligeait clairement et légalement une personne à le faire, du moins ni moi, ni la plupart des gens que je connais, et je n’ai pas eu dans mon esprit d’autres choix que de démissionner.

Sherry Jackson Former IRS Agent – Sur la base de la recherche que j’ai effectuée tout au long de l’année 2000 et que je continue encore, je n’ai trouvé cette loi. J’ai demandé au Congrès, à beaucoup de personnes, nous avons demandé aux assistants des membres de la Commission de l’IRS (le Fisc américain), ils ne peuvent pas répondre parce que s’ils répondent, le peuple américain va savoir que tout cela est une fraude.

Joe Turner Former IRS Agent – Je n’ai pas rempli de déclaration d’impôts fédéral sur le revenu depuis mon départ.

Sherry Jackson Former IRS Agent – Je n’ai pas rempli de déclaration d’impôts depuis 1999.

L’impôt sur le revenu n’est rien d’autre que l’esclavage du pays entier. Mais le contrôle de l’économie et le vol perpétuel des biens n’est qu’une des facettes du Rubik’s Cube que les banquiers ont dans leurs mains. L’autre outil de profits et de contrôle est la guerre.

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Depuis l’établissement de la Réserve Fédérale en 1913, un certain nombre de grandes et petites guerres ont débuté. Les trois plus marquantes furent la Première Guerre Mondiale, la Deuxième Guerre Mondiale, et la Guerre du Viêt Nam.

La première Guerre Mondiale

En 1914, des guerres éclatèrent en Europe, centrées autour de l’Angleterre et de l’Allemagne. Le peuple américain ne voulait rien avoir à faire avec la guerre, et le Président Wilson déclara alors la neutralité. Cependant, sous la surface, l’administration des Etats-Unis cherchait n’importe quelle excuse pour rentrer dans cette guerre. Dans un rapport du Secrétaire d’Etat William Jennings, il est écrit : « Les vastes intérêts bancaires étaient profondément intéressés par la guerre mondiale, du fait des amples opportunités pour de vastes profits. »

Il est important de comprendre que la chose la plus lucrative qui puisse arriver aux banquiers internationaux, c’est la guerre parce qu’elle force le pays à emprunter encore plus d’argent à la Réserve Fédérale, avec intérêts. Le conseiller en chef et mentor de Woodrow Wilson était le Colonel Edward House, un homme ayant des liens intimes avec les banquiers internationaux qui voulaient rentrer dans la guerre. Dans un entretien documenté entre le Colonel House, le conseiller de Wilson, et Sir Edward Grey, le Ministre des Affaires Etrangères anglais, concernant la façon de faire rentrer les Etats-Unis dans la guerre, Grey demanda : « Que feraient les Américains si les Allemands faisaient couler un paquebot avec des passagers américains à son bord ?  House répondit : « Je pense qu’une vague d’indignation emporterait les Etats-Unis et que cela en soi-mêm»e serait suffisant pour nous amener à la guerre. » Ainsi, le 7 mai 1915, somme toute à la suggestion de Sir Edward Grey, un paquebot du nom de Lusitania fut délibérément envoyé dans les eaux territoriales allemandes où il était bien connu que des vaisseaux militaires allemands se trouvaient. Et, comme prévu, les sous-marins allemands torpillèrent le paquebot,  faisant exploser des dépôts de munitions, tuant 1200 personnes.

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Pour comprendre plus en profondeur la nature délibérée de ce complot, précisons que l’Ambassade d’Allemagne fit paraître des publicités dans le New York Times, avertissant les gens que s’ils montaient à bord du Lusitania, ils le feraient à leurs risques et périls, puisqu’un tel paquebot navigant des Etats-Unis vers l’Allemagne au travers de la zone de guerre serait susceptible d’être détruit. Ensuite, et comme il avait été anticipé, le torpillage du Lusitania suscita une vague d’indignation auprès de la population américaine et les Etats-Unis entrèrent en guerre peu de temps après. La Première Guerre Mondiale cause la mort de 323 000 américains. Elle rapporta 200 millions de dollars à J.D. Rockefeller. ($200 Million en 1919 = 2.7 milliards en 2008) Sans compter que la guerre coutâ aux Etats-Unis environ 30 milliards de dollars, ($30 milliards en 1919 = 400 milliards en 2008), dont la plus grande partie avait été empruntée à la Réserve Fédérale avec intérêts, ce qui augmenta d’autant plus les profits des banquiers internationaux.

La Deuxième Guerre Mondiale

Le 7 décembre 1941, le Japon attaqua la flotte américaine de Pearl Harbor, déclenchant ainsi notre entrée dans la guerre. Le Président Franklin D. Roosevelt déclara que le jour de l’attaque était « un jour qui restera marqué par l’infamie ». Un jour d’infamie certes, mais non à cause de la présumée attaque surprise de Pearl Harbor. Après 60 ans d’informations remontant à la surface, il est clair non seulement que l’attaque de Pearl Harbor était connue des semaines auparavant, mais qu’elle avait aussi été franchement voulue et provoquée. Roosevelt, dont la famille était dans les banques new-yorkaises depuis le 18ème siècle, dont l’oncle Fredrik était dans le conseil d’administration originel de la Réserve Fédérale, se montrait très compatissant envers les intérêts des banquiers internationaux, et leur intérêt était d’entrer dans le conflit. Et comme nous l’avons vu, rien n’est plus profitable aux banquiers internationaux que la guerre. Dans un écrit daté du 25 novembre 1941 tiré de son journal, Henry Stimson, le Ministre de la Guerre de Roosevelt, documenta une conversation qu’il avait eue avec ce dernier : « La question était, comment allons-nous les manoeuvrer pour qu’ils tirent la première balle. Il était souhaitable de s’assurer que les Japonais seraient ceux qui le feraient pour qu’il ne subsiste plus aucun doute quant à qui était l’agresseur. » Dans les mois précédent l’attaque de Pearl Harbor, Roosevelt fit tout ce qui était en son pouvoir pour attiser la colère des Japonais, prenant une posture agressive. Il suspendit toute importation japonaise de pétrole américain. Il gela tous les actifs japonais aux Etats-Unis. Il fit des prêts publics à la Chine nationaliste et apporta une aide militaire aux Anglais, tous deux étant des ennemis du Japon dans la guerre… ce qui, au fait, était en violation complète des accords internationaux de guerre. Et, le 4 décembre, trois jours avant l’attaque, les services secrets australiens informèrent Roosevelt qu’un groupement militaire japonais se dirigeait vers Pearl Harbor. Roosevelt les ignora. Alors, comme espéré et en laissant faire, le 7 décembre 1941 le Japon attaqua Pearl Harbor, tuant 2400 soldats. Avant Pearl Harbor, 83% du peuple américain ne voulait rien avoir à faire avec la guerre. Après Pearl Harbor, 1 million d’hommes s’engagèrent pour la guerre.

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Il est important de noter que l’effort de guerre de l’Allemagne nazie était largement soutenu par deux organisations. L’une d’elles s’appelait IG Farben. IG Farben produisait 84% des explosifs allemands et même le Zyklon B utilisé dans les camps de concentration pour tuer des millions de personnes. Un des partenaires discrets d’IG Farben aux Etats-Unis était la Standard Oil Company de J.D. Rockefeller. En fait, la force aérienne allemande ne pouvait pas opérer sans un additif spécial breveté par la Standard Oil de Rockefeller. Par exemple, le bombardement draconien de Londres par l’Allemagne nazie fut rendu possible par la vente de 20 millions de dollars de carburant de la Standard Oil Company de Rockefeller à IG Farben. Et c’est juste un petit aperçu de la manière dont le commerce américain finança les deux camps de la Deuxième Guerre Mondiale.

Un autre organisation traîtresse qui mérite d’être mentionnée est l’Union Banking Corporation de New York. Elle a non seulement financé de nombreux aspects de la montée au pouvoir d’Hitler, ainsi que l’approvisionnement d’équipements pendant la guerre, mais elles servait aussi à blanchir l’argent nazi. Elle fut finalement mise à nu pour avoir des millions de dollars d’argent nazi dans ses coffres. L’Union Banking Corporation de New York fut en définitive saisie pour violation de la Loi de Commerce avec l’Ennemi ( « Trading with the Ennemi Act »). Devinez qui était le directeur et vice-Président de l’Union Banking Corporation ? Prescott Bush, le grand-père de notre actuel Président et bien sûr le père de notre Président précédent. Gardez cela en tête en pensant aux dispositions morales et politiques de la famille Bush.

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La Guerre du Viêt Nam

La déclaration officielle de guerre des Etats-Unis au Viêt Nam-du-Nord en 1964 survint après un incident présumé impliquant une attaque sur des Destroyers américains par des bateaux PT nord-vietnamiens dans le Golfe de Tonkin. Celui-ci était connu comme « l’Incident du Golfe de Tonkin ». Cette circonstance seule fut le prétexte catalyseur pour un déploiement massif de troupes et pour une guerre à part entière. Seulement voilà, il y a un problème. L’attaque des Destroyers américains par des bateaux PT… n’a jamais eu lieu. Ce fut un évènement entièrement mis en scène pour avoir une excuse pour entrer en guerre. Robert McNamara, l’ancien Ministre de la Défense, déclara des années plus tard que l’Incident du Golfe de Tonkin était une « erreur », tandis que beaucoup d’autres initiés et officiers ont finalement dit ouvertement que ce fut une farce artificielle, un mensonge complet. Une fois en guerre, c’était le business habituel. En octobre 1966, le Président Lyndon Johnson leva les restrictions commerciales sur le bloc soviétique, sachant pertinemment que les Soviétiques fournissaient plus de 80% des munitions de guerre des Nord-Vietnamiens. Par conséquent, les Rockefeller financèrent des usines dans l’Union Soviétique, que les Soviétiques utilisèrent pour manufacturer des équipements militaires et les envoyer au Viêt Nam-du-Nord. Toutefois, le financement des deux camps de ce conflit n’était qu’une facette de l’histoire. En 1985, les Règles d’Engagement du Viêt Nam furent déclassifiées. Elles définissaient ce que les troupes américaines avaient et n’avaient pas le droit de faire pendant la guerre. Cela comprenait des absurdités comme : les systèmes de missiles anti-aériens nord-vietnamiens ne pouvaient pas être bombardés avant qu’ils se soient avérés être  entièrement opérationnels ; aucun ennemi ne pouvait être poursuivi une fois qu’il avait passé la frontière du Laos ou du Cambodge. Et, le plus révélateur de tous : les attaques contre les cibles stratégiques les plus critiques ne pouvaient être menées à moins d’avoir été initiées par des hauts gradés. Mis à part l’imposition de limitations, le Viêt Nam-du-Nord était informé de ces restrictions et pouvait donc créer des stratégies entières autour des limitations des forces américaines. C’est pourquoi la guerre dura aussi longtemps, et la chose à retenir est la suivante : la Guerre du Viêt Nam n’a jamais été censée être gagnée…mais seulement entretenue. Le résultat de cette guerre pour les profits fut la mort de 58 000 Américains et de 3 millions de Vietnamiens.

Alors – où en sommes nous maintenant.

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Le 11 septembre était un tremplin pour l’agenda d’une élite sans pitié qui va maintenant en s’accélérant. C’était un prétexte de guerre mis en scène, non différent du torpillage du Lusitania, de la provocation de Pearl Harbor, et du mensonge du Golfe de Tonkin. En fait, si le 11 septembre n’était pas un prétexte de guerre planifié, ce serait une exception à la règle. Le 11 septembre a été utilisé pour lancer deux guerres illégales et non provoquées. L’une contre l’Irak, et l’autre contre l’Afghanistan. Cependant, le 11 septembre était aussi une excuse pour une autre guerre. La guerre contre vous. Le USA Patriot Act, la Sécurité Intérieure des Etats-Unis (« Homeland Security »), le Décret des Tribunaux Militaires (« Military Tribunal Act»), et autres législations, tous sont complètement et entièrement conçus pour détruire vos libertés civiles et pour limiter votre capacité à vous défendre contre ce qui est en train d’arriver. En ce moment aux Etats-Unis, et sans que la plupart des Américains, dont le cerveau a été lavé, en aient été informés, votre maison peut être fouillée sans mandat, et sans que vous soyez chez vous. Vous pouvez ensuite être arrêté sans que les charges retenues contre vous vous soient révélées, être retenu indéfiniment sans avoir la possibilité de contacter un avocat, et être torturé légalement. Tout cela, si vous êtes soupçonné d’être un « terroriste ».

Si vous avez besoin d’un portrait de ce qui est en train de se passer dans ce pays, voyons d’abord comment l’Histoire se répète.

En février 1933, Hitler mit en scène une attaque « sous faux drapeau » en incendiant le bâtiment de son propre Parlement Allemand, le Reichstag, et accusa les terroristes communistes. En quelques semaines, il fit passer la Loi d’Habilitation (« Enabling Act »), qui éradiqua complètement la Constitution Allemande en détruisant les libertés du peuple. Il mena alors une série de guerres préventives, toutes justifiées devant le peuple Allemand comme nécessaires au maintien de la sécurité intérieure.

« Un mal existe qui menace chaque homme, chaque femme, et chaque enfant de cette grande nation. Nous devons prendre des mesures pour garantir notre sécurité intérieure et pour protéger notre patrie. »
– George W. Bush
? Non. Adolf Hitler lors de l’annonce de la création de la Gestapo au peuple.

Adolf Hitler – Au sujet du communisme… et ses organisations écran ne devraient pas obscurcir les problèmes!

George W. Bush – Notre ennemi est un réseau radical de terroristes et tous les gouvernements qui les supportent.

Il est temps de se réveiller. Les personnes au pouvoir se démènent pour s’assurer que vous êtes bien perpétuellement trompés et manipulés. La perception de la réalité de la majorité, en particulier dans l’arène politique, n’est pas la sienne. Elle lui est imposée astucieusement, sans même qu’elle s’en rende compte. Par exemple, le grand public croit réellement que l’invasion de l’Irak se passe très mal, puisque la violence sectaire semble ne pas en finir. Ce que le public ne voit pas, c’est que la déstabilisation de l’Irak est exactement ce que veulent les personnes derrière le gouvernement. Cette guerre se doit d’être entretenue, pour que la région puisse être divisée, pour que la domination sur le pétrole soit maintenue, pour que des profits continuels soient récoltés par les groupes d’armement, et plus important encore, pour que des bases militaires permanentes y soient implantées dans le but de les utiliser comme plates-formes de lancement contre d’autres pays pétroliers et non -conformistes tels que l’Iran et la Syrie. Pour preuve que la guerre civile et la déstabilisation sont purement intentionnelles : en 2005, deux officiers d’élite SAS britanniques furent arrêtés par la police irakienne après avoir été surpris au volant de leur voiture en train de tirer sur des civils, tout en étant déguisés en Arabes.

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Après qu’ils aient été arrêtés et conduits à une prison de Bassora, l’armée britannique sollicita immédiatement la remise en liberté de ces hommes. Quand le gouvernement de Bassora refusa, des tanks britanniques pénétrèrent dans la prison par la force et en sortirent les deux hommes.


Voix d’un homme – Si vous souhaitez détruire une région, comment vous y prenez-vous ?

Lyndon Larouche – Et bien, il y a deux méthodes. Vous pouvez y aller et la bombarder et ainsi de suite.

Voix du premier homme –  Mais ce n’est pas très efficace.

Lyndon Larouche – Ce que vous faites, c’est d’essayer de pousser le peuple de cette région à s’entretuer et à détruire son propre territoire, ses propres fermes. Et c’est ce qui a été fait dans cette région. La façon de détruire un opposant est de le pousser à se détruire lui-même, en montant ses rangs les uns contre les autres. Ensuite vous alimentez les deux camps, vous avez des agents alimentant les deux camps, attisant les deux camps. Et ils s’entretuent. Et il est temps que certains d’entre nous se réveillent à cette réalité ; de comprendre que les personnes qui essaient de maintenir des empires et de créer des empires, le font en manipulant les personnes qu’elles tentent de conquérir.

Jordan Maxwell – Vous devriez vous poser la question de savoir pourquoi la culture entière est saturée de toute part des divertissements médiatiques

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pendant que le système éducatif aux Etats-Unis continue sa chute vertigineuse depuis que le gouvernement a décidé de reprendre et de subventionner le système d’éducation publique.

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Votre gouvernement obtient ce pour quoi il a payé. Une fois que nous comprenons cela, nous regardons alors les institutions éducatives financées par le gouvernement et voyons le genre d’étudiants et le genre d’éducation qui sont engendrés par ces écoles à financement gouvernemental. La logique vous dira que si ce qui est engendré par ces écoles n’était pas en accord avec ce que l’état et le gouvernement fédéral voulaient, ils changeraient alors le système. En fin de compte, le gouvernement obtient ce qu’il a commandé. Ils ne veulent pas que vos enfants soient éduqués. Ils ne veulent pas que vous réfléchissiez trop. C’est pourquoi notre pays et  notre monde sont victimes d’une telle prolifération de divertissements, de programme télévisés à grande écoute, de parcs d’attractions, de drogues, d’alcool, et de toutes sortes de divertissements qui maintiennent l’esprit humain diverti. Pour que vous ne vous mettiez pas en travers de la route de personnes importantes en réfléchissant un peu trop. Vous feriez mieux de vous réveiller et de comprendre qu’il y a des personnes qui guident votre vie et que vous n’en êtes même pas conscients.


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« Network » 1976 – Nous sommes sérieusement dans le pétrin ! Parce que vous, et 62 millions d’autres Américains, êtes en train de m’écouter à ce moment même. Parce que moins de 3% d’entre vous ne lisent des livres. Parce que moins de 15% d’entre vous ne lisent les journaux. Parce que la seule vérité que vous connaissez est ce que vous recevez par cette télé. Il y a en ce moment même toute une génération qui n’a jamais connu autre chose que ce qui sort de cette télé. Cette télé est l’évangile, l’ultime révélation. Cette télé peut élire ou détruire des Présidents, des papes, des Premiers ministres… Cette télé est la maudite force la plus terrifiante en ce monde impie et pauvre de nous si elle tombe un  jour dans les mains des mauvaises personnes. Et quand la plus grande compagnie du monde contrôle la plus terrifiante maudite force de propagande en ce monde impie, qui sait quelle merde sera colportée comme vérité sur ce réseau ! Alors écoutez-moi… écoutez-moi : la télévision n’est pas la vérité. La télévision est un maudit parc d’attractions. La télévision est  un cirque, une fête foraine, une troupe ambulante d’acrobates, de raconteurs d’histoires, de danseurs, de chanteurs, de jongleurs, de monstres de foire, de dompteurs de lions, et de joueurs de foot. Nous sommes dans le business de tuer l’ennui ! Mais vous, les gens, êtes assis là jour après jour et nuit après nuit, de toute âge, couleur, foi… Nous sommes tout ce que vous connaissez. Vous commencez à croire les illusions que nous faisons tournoyer ici, vous commencez à croire que la télé est la réalité et que vos propres vies sont irréelles. Vous faites tout ce que la télé vous dit. Vous vous habillez comme la télé, vous mangez comme la télé, vous élevez vos enfants comme la télé, vous pensez même comme la télé… C’est de la folie générale, bande de malades. Nom de dieu, vous êtes la chose réelle… Nous sommes l’illusion !


 La dernière chose que veulent les hommes dans les coulisses est un peuple conscient et informé capable d’avoir une pensée critique. C’est la raison pour laquelle un « zeitgeist » frauduleux est continuellement produit via la religion, les médias, et le système éducatif. Ils cherchent à vous maintenir dans une bulle de distractions et de naiveté.

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 En 2005, un arrangement entre le Canada, le Mexique, et les Etats-Unis a été conclu. Cet arrangement, ni divulgé au peuple, ni régulé par le Congrès, fusionne les Etats-Unis, le Canada, et le Mexique, en une entité, effaçant toutes les frontières. Il s’appelle l’Union Nord Américaine. Vous devriez vous demander pourquoi vous n’en avez jamais entendu parler. En fait, il n’y a qu’un seul grand journaliste qui en a entendu parler, et qui a eu le courage de couvrir le sujet. La politique de frontières ouvertes de l’administration Bush et sa décision d’ignorer le renforcement des lois d’immigration de ce pays, font partie d’un agenda plus large. Le Président Bush a signé un accord officiel qui mettra fin aux Etats-Unis tels que nous les connaissons. Et il en a pris l’initiative sans l’approbation ni du Congrès des Etats-Unis, ni du peuple des Etats-Unis. C’est un accord dont peu de personnes sont au courant.

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Une fois de plus, cela a été élaboré par un très petit groupe de personnes au sommet, au nom de la carte des investisseurs. Mais la classe ouvrière et les hommes politiques de part et d’autre du pays, des communautés et des villes, n’en ont pas la moindre idée.


 Ce n’est pas un banal traité commercial. C’est un abandon de la souveraineté de ces pays, qui résultera aussi en une monnaie entièrement nouvelle appellée l’Améro.

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Je pense que la seule chose sur laquelle les personnes utilisant le Dollar doivent se pencher est l’Améro, c’est la seule chose dont personne ne parle mais qui à mon avis va avoir un grand impact sur la vie de tous au Canada, aux Etats-Unis, et au Mexique. L’Améro est la nouvelle monnaie proposée pour la Communauté Nord Américaine qui se développe en ce moment même entre le Canada, les Etats-Unis, et le Mexique pour créer une communauté sans frontières très similaire à l’Union Européenne, et le Dollar canadien, et le Peso mexicain, seront remplacés par l’Améro.


 Par défaut, après cet accord, la Constitution Américaine deviendra finalement obsolète. On aurait pu croire qu’une situation de ce genre ferait la couverture de tous les plus grands journaux. Jusqu’à ce que vous réalisiez que les personnes qui sont derrière ce mouvement sont les mêmes qui sont derrière la Presse et les médias audiovisuels, et que vous n’êtes pas informés de ce que vous n’êtes pas censés savoir.

Le concept de l’Union Nord Américaine est le même que celui de l’Union Européenne, de l’Union Africaine, et de la future Union Asiatique, et ce sont les mêmes personnes qui sont derrière toutes ces unions. Et quand le temps sera venu, l’Union Américaine, l’Union Européenne, L’Union Africaine, et l’Union Asiatique, seront fusionnées, formant l’étape finale d’un plan que ces hommes élaborent depuis plus de 60 ans. Un gouvernement mondial unique.

« Nous aurons un Gouvernement Mondial, que cela nous plaise ou non. La seule question est de savoir si le Gouvernement Mondial sera obtenu par la force ou par le consentement. » – Paul Warburg, Conseil des Relations Etrangères / Architecte du Système de la Réserve Fédérale, 1950.

« Nous sommes reconnaissants envers le Washington Post, le New York Time, Time Magazine, et les autres grandes parutions dont les directeurs ont assisté à nos réunions et ont respecté leur promesse de discrétion pendant près de 40 ans. Il nous aurait été impossible de développer notre plan pour le monde si nous avions été sujets aux lumières de la publicité durant ces années. Mais, le monde sophistiqué et préparé à marcher vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est certainement préférable à l’autodétermination nationale pratiquée dans les siècles précédents. » – David Rockefeller, Conseil des Relations Etrangères.

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 Une banque unique, une armée unique, un centre de pouvoir  unique.

Lord Acton, English Historian 1834-1902 – Et si nous avons retenu une chose de l’Histoire, c’est que le pouvoir corrompt, et que le pouvoir absolu corrompt absolument.


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Voici Aaron Russo (TSIPC.NET – à gauche sur la photo), un cinéaste et ancien politicien. A sa gauche se trouve Nicholas Rockefeller de la tristement célèbre dynastie Rockefeller de la banque d’affaires. Après avoir entretenu une amitié proche avec Nicholas Rockefeller, Aaron a finalement mis un terme à leur relation, consterné par ce qu’il avait appris sur les Rockefeller et sur leurs ambitions. »

2007 Interview | Aaron Russo –  Un jour, j’ai reçu un appel d’une avocate que je connaissais, et elle m’a dit : « Est-ce que cela te plairait de rencontrer un des Rockefeller ? » Et je lui ai répondu : « Bien sur, j’aimerais beaucoup » Nous sommes devenus amis et il a commencé à me divulger beaucoup de choses, alors une nuit, il m’a dit :

N. Rockefeller: [11 mois avant le 11 septembre 2001] « Il va y avoir un évènement, Aaron, et à partir de cet évènement nous allons aller en Afghanistan pour que nous puissions faire passer des pipelines par la mer Caspienne ; nous allons aller en Irak pour y prendre le pétrole et pour établir une base au Moyen-Orient ; et nous allons aller au Venezuela et nous débarrasser de Chavez. » Ils ont accompli les 2 premiers, Chavez ils ne l’ont pas fait. Et il a dit : « Tu vas voir des hommes aller dans des grottes pour chercher…(On entend Aaron Russo rire un peu) pour chercher des personnes qu’ils ne vont jamais trouver. » Il riait du fait qu’il y a cette guerre contre la terreur, et qu’il n’y a pas d’ennemi réel. Il expliquait qu’en ayant cette guerre contre la terreur, on ne peut jamais la gagner, parce que c’est une guerre éternelle, et qu’on peut alors toujours continuer à enlever plus de libertés au peuple. Et j’ai demandé : « Comment allez-vous convaincre les gens que cette guerre est réelle ? » Et il a répondu : « Avec les médias… Les médias peuvent convaincre tout le monde qu’elle est réelle. » Il suffit de parler sans cesse des mêmes choses, et on les répète encore et encore et encore et finalement les gens y croient. Vous savez, ils créent la Réserve Fédérale en 1913 avec des mensonges. Ils créent le 11 septembre, qui était un autre mensonge.  On commence par le 11 septembre, ensuite on mène une guerre contre le terrorisme et tout d’un coup, on va en Irak, ce qui était un autre mensonge, et maintenant ils vont s’occuper de l’Iran. Ce n’est qu’une chose qui mène à une autre, qui mène à une autre, qui mène à une autre… Je lui disais : « Pourquoi faites-vous ça ? Quel est l’intérêt ? Vous avez tout l’or du monde, plus d’argent que vous n’auriez jamais espéré avoir, vous détenez tout le pouvoir… Vous faites du mal aux gens. Ce n’est pas bien. » Et il me répondait : « Qu’est-ce que tu en as à faire, des gens ? Prends soin de toi et prends soin de ta famille. » Et puis j’ai demandé : « Alors quels sont les buts ultimes ici ? » Il a dit : « Le but ultime est d’arriver à implanter une puce RFID dans toutes les personnes de ce monde. Et de faire en sorte que tout l’argent soit sur ces puces et que tout soit sur ces puces, et si quelqu’un veut s’élever contre ce que nous faisons ou profaner ce que nous voulons, il nous suffit alors d’éteindre sa puce. »


 C’est exact – l’implant de micropuces.

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En 2005, sous le prétexte du contrôle de l’immigration et de la soi-disant Guerre contre le Terrorisme, le Congrès à fait passer le « Real ID Act »,

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par lequel il est prévu qu’avant mai 2008, vous serez tenus de porter sur vous une Carte d’Identité Fédérale doté d’un code bar scannable contenant vos informations personnelles. Toutefois, ce code bar n’est qu’une étape intermédiaire avant que la carte ne soit équipée d’un module traceur VeriChip RFID

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qui utilisera les fréquences radio pour suivre chacun de vos faits et gestes sur cette planète. Si cela vous semble incongru, notez s’il vous plait que la puce RFID est déjà dans tous les nouveaux passeports américains.

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Et l’étape finale est une puce implantée,

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que beaucoup de personnes ont déjà été manipulées à accepter sous différents prétextes.

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Ils se sont portés volontaires pour être les premiers à avoir un dispositif d’identification à micropuce implanté dans leur corps.

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« Ajout de ce lien le 24 juillet 2017 : La première entreprise qui puce ses employés« 

où chacune des actions que l’on fait est documentée. Et si on fait un pas de travers, ils pourront simplement éteindre notre puce, car à ce moment-là, chacun des aspects de la société évoluera autour des interactions avec les puces. Voilà ce qui est en train de se dessiner pour le futur, pour peu qu’on ouvre les yeux pour le voir. Une économie centrale dans un monde unique où les gestes et les transactions de chacun sont suivis et surveillés. Tous droits supprimés. L’aspect le plus incroyable de tous : ces éléments totalitaires ne seront pas imposés de force au peuple, mais le peuple les réclamera,  car la manipulation de la société, par la genèse de la peur et de la division, a complètement détaché l’être humain de son sens du pouvoir et de la réalité. Un processus qui perdure depuis des siècles voire des millénaires.

La religion, le patriotisme, la race, la richesse, la classe, et toutes les autres formes arbitraires d’identification séparative, et donc de vanité, ont servi à créer un peuple contrôlé, complètement malléable dans les mains de quelques-uns. Diviser pour Régner est la devise, et tant que les personnes continueront à se considérer comme indépendantes de toutes les autres choses, elles se prêteront à un asservissement total. Les hommes dans les coulisses le savent. Et ils savent aussi que si les gens prennent un jour conscience de la vérité sur leur relation avec la nature, et de la réalité de leur pouvoir personnel… l’entier « zeitgeist » fabriqué qu’ils utilisent comme leurre s’écroulera alors comme un château de cartes.


Le système en entier dans le quel nous vivons nous bourre le crâne avec l’idée que nous sommes impuissants, que nous sommes faibles, que la société est diabolique et rongée par le crime, et ainsi de suite. Ce n’est qu’un tas de gros mensonges ! Nous sommes puissants, beaux, extraordinaires. Il n’y a pas de raisons pour que nous ne puissions pas comprendre qui nous sommes vraiment, où nous allons. Il n’y a pas de raison pour que l’individu moyen ne puisse pas prendre pleinement possession de ses moyens. Nous sommes des êtres incroyablement puissants. Je pense avoir passé 30 ans de ma vie, les 30 premières années, à essayer de devenir quelqu’un. Je voulais devenir fort, je voulais devenir fort au tennis, et bon à l’école, et avoir de bonnes notes. Et je voyais tout plus ou moins sous cette perspective : « La personne que je suis ne me convient pas, mais si je deviens fort… » J’ai réalisé que je n’avais pas bien compris le but du jeu, parce que le but du jeu était de trouver ce que j’étais déjà. Ce que j’étais déjà (echo une fois).

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Maintenant, dans notre culture nous avons été entraînés à mettre les différences individuelles en avant. Ainsi, on regarde une personne et notre impression immédiate est : plus intelligent, plus bête, plus vieux, plus jeune, plus riche, plus pauvre… Et nous faisons toutes ces distinctions dimensionnelles, nous plaçons les gens dans des catégories, et nous les traitons de cette façon. Et nous devenons de telle sorte que nous voyons les autres uniquement comme étrangers à nous-mêmes de par leurs différences. Et une des expériences spectaculaires de notre existance est d’être avec une autre personne et de voir soudainement la façon dont elle est comme nous, et non pas différente de nous. Et de faire l’expérience de réaliser que ce qui est ton essence, et ce qui est mon essence, ne font en effet qu’un. La compréhension qu’il n’y a pas d’« autre ». Tout n’est qu’un. Je ne suis pas né Richard Albert, je suis simplement né en tant qu’être humain, et j’ai par la suite appris toute cette affaire de qui je suis, si je suis bon ou mauvais, accompli ou non… Tout ça est appris en cours de route.

« Lorsque le pouvoir de l’amour surpassera l’amour du pouvoir, le monde connaîtra la paix. » – Sri Chimnoy Ghose

Les anciens appels au chauvinisme racial, sexuel, et religieux, jusqu’à la ferveur nationalisme enragée, commencent à ne plus marcher. Une nouvelle conscience se développe qui voit le Terre comme un organisme unique, et qui reconnaît qu’un organisme en guerre contre lui-même est condamné.

Bill Hicks avait l’habitude de conclure ses shows avec ceci : La vie est comme un manège dans un parc d’attractions, et quand on monte dedans on pense que c’est réel parce que nos esprits sont à ce point puissants. Le manège monte et descend et tourne et tourne en rond, c’est excitant puis effrayant et c’est haut en couleur. Et c’est bruyant et c’est amusant pendant un moment. Certains sont sur le manège depuis longtemps et commencent à se demander : « Est-ce que c’est réel, ou est-ce simplement un tour de manège ? » Et d’autres personnes s’en souviennent et viennent vers nous et nous disent : « Hé, ne vous en faites pas ; n’ayez pas peur, jamais. Car ce n’est qu’un tour de manège » Et nous tuons ces personnes. « Faites le taire, j’ai beaucoup investi dans ce manège, faites le taire ! Regardez mes grimaces d’inquiétude… Regardez mon gros compte en banque et ma famille… Ceci ne peut qu’être réel… » Ce n’est qu’un tour de manège. Mais tuons toujours les gentils qui essaient de nous le dire, vous avez déjà remarqué ?

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Et nous laissons les démons devenir fous furieux… Mais cela n’a pas d’importance, car ce n’est qu’un tour de manège, et nous pouvons en changer chaque fois que nous le voulons. C’est juste un choix. Pas d’efforts. Pas de travail, pas d’emplois, pas d’économies d’argent. Juste un choix, là, maintenant. Entre la peur, et l’amour.

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La révolution, c’est maintenant.
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FIN

Base de données biométrique Européenne

Commentaire personnel sur Zeitgeist

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