NORAD
D’après les procédures standard d’opération, si un aiguilleur du ciel FAA remarque quoi que ce soit qui suggère un détournement d’avion potentiel, l’aiguilleur se doit de contacter son supérieur. Si le problème ne peut être résolu en une minute environ, le supérieur doit demander à NORAD (le Commandement de Défense Aérospatiale d’Amérique du Nord) de faire décoller immédiatement, en « scramble » des avions de chasse pour découvrir ce qui se passe. NORAD transmet alors l’ordre à la base aérienne militaire la plus proche ayant des avions de chasse parés. Bien qu’une interception survienne habituellement en 10 minutes environ, dans notre cas, près de 80 minutes s’étaient écoulées avant même que les avions de chasse ne décollent. C’est une anomalie effarante. Pas un seul avion intercepteur de l’U.S. Air Force ne se met en route avant qu’il ne soit trop tard. Il n’y a pas d’avions du tout.
Et s’ils étaient si déconcertés, et avaient délibérément été si déconcertés, qu’ils ne pouvaient pas répondre ? La raison pour laquelle ils ne savaient pas où aller est qu’un certain nombre d’exercices de guerre, contradictoires et se chevauchant, se déroulaient. Ils impliquaient l’insertion de faux spots sur les écrans des radars du secteur nord-est de la défense.
La voix est celle du contrôleur radar
«Nous avons besoin de faire décoller immédiatement des F-16 ou quelque chose là-haut, aidez-nous.» NORAD : « C’est dans le monde réel ou c’est un exercice ? »
Il y avait un autre exercice, Vigilant Warrior (« Guerrier Vigilant»), qui était en fait, d’après une source venant de NORAD, un exercice de détournements d’avions à vols réels, effectué en même temps. Avec seulement 8 avions de chasse disponibles, et qui doivent être dispatchés en paires, ils avaient potentiellement affaire à 22 détournements d’avions, le jour du 11 septembre. Et ils étaient dans l’incapacité de différentier les exercices de guerre des véritables détournements.
En 2000, NORAD effectua 67 interceptions. 100% de réussite. Le 11 septembre, ils faillirent 4 fois en un jour. Au matin du 11 septembre, Dick Cheney était en charge de tous les ordres de NORAD depuis le bunker de commande situé sous la Maison Blanche. Le scénario d’au moins un des nombreux exercices de guerre effectués au matin du 11 septembre impliquait des avions volant dans des buildings.
La 911 Commission
Page 172 : Le Gouvernement des Etats-Unis n’a pas été en mesure de déterminer l’origine du financement des attaques du 11 septembre. « Finalement la question est de peu d’importance pratique. » Les autorités américaines n’ont pas réussi à tracer la source du financement. Vient ensuite la déclaration la plus inouie et sournoise : « finalement c’est de faible conséquence ». C’est lourd de conséquence ! – Michael Meacher Member of BRITISH PARLIAMENT
Un homme – Cela n’a pas d’importance, qui a payé pour le 11 septembre ?
L’effondrement du building no 7 a été reconnu particulièrement difficile à expliquer. Le rapport de la 911 Commission a implicitement admis qu’elle ne pouvait expliquer l’effondrement de ce building, et ne le mentionnant même pas.
et je me réjouis à l’idée de les rencontrer et de répondre à leurs questions.
– Parce que cela nous donne à tous les deux une bonne chance de répondre aux questions que la 911 Commission se réjouit de nous poser, et je me réjouis d’y répondre.
Voix de femme – Pensez-vous qu’ils devraient être libres de dire ce qu’ils veulent ?
– Ils devraient témoigner sous serment. Ouais. En public.
Lorsque Bush et Cheney se sont réunis avec la 911 Commission, ils l’ont fait uniquement selon leurs propres termes :
– Ils se sont présentés ensemble.
– Ils n’étaient pas sous serment.
– Ni la Presse ni les familles des victimes n’avaient le droit d’y assister.
– Aucun enregistrement quel qu’il soit n’était autorisée.
Un journaliste – Ne pensez-vous pas que les familles méritent d’avoir une retranscription, ou de pouvoir voir… ?
Le rapport finale était un rapport unanime. Cela veut dire que s’il y avait un seul membre de la commission qui avait une quelconque objection à quelque sujet que ce soit, ce fait serait retiré du rapport.
Voix d’une femme à propos du Directeur de la 911 Commission, Philip Zelikow – Nous avons découvert qu’il avait non seulement servi dans une équipe transitoire de l’administration Bush, mais qu’il était aussi la personne ayant écrit le draft de la mise en place du Conseil National de Sécurité de l’administration Bush, qu’il était la personne ayant écrit la stratégie de guerre préventive qui fut par la suite utilisée pour la guerre en Irak, et qu’il est un ami proche de Condolezaa Rice.
Une femme – Nous voulons qu’il démissionne.
Paul Thompson auteur : The Terror Timeline – Il n’y a littéralement rien dans le rapport de la 911 Commission que l’administration Bush n’ait approuvé.
Nous pouvons donc comprendre pourquoi la Commission, sous la direction de Zelikow, aurait ignoré toutes les preuves pointant vers la vérité. Que le 11 septembre était une opération « sous faux drapeau » visant à valider les doctrines et les fonds requis pour un nouveau niveau de mobilisation générale.
Le terrorisme
Terrorisme : 1) Utilisation systématique de la terreur, se manisfestant par la violence ou l’intimidation, afin de générer la peur.
(La suite répétitive qui suit sont différentes scènes ou Georges W. Bush et deux autres hommes utilisent les mêmes expressions et elles sont mises bout à bout de façon rapide).
Afin de générer la peur. Armés avec des couteaux. Armées avec des armes chimiques, biologiques, et nucléaires. Des fanatiques. Des terroristes. Le 11 septembre. Le 11 septembre. Des tueurs. Le 11 septembre. Des terroristes. Des terroristes. Al Qaeda. Des terroristes. Des armes nucléaires. La terreur. Le 11 septembre. La terreur. La terreur. La terreur. Diabolique. Le 11 septembre. Le 11 septembre. Les terroristes. Guerre et danger. Le 11 septembre. Le terrorisme. Le terrorisme global. Le terrorisme. Terroriste. Terroriste. Terroriste. Terroriste. Terroriste. Les terroristes. Des terroristes. Des terroristes. Le terrorisme. Le 11 septembre. Le terrorisme global. Le terrorisme. Le terrorisme. Des terroristes. Le 11 septembre. Le terrorisme mondial. Des terroristes. Le terrorisme. Le 11 septembre. Le terrorisme global. Le 11 septembre. Terroriste. Terroriste. Terroriste. Terroriste. Terroriste. Des armes de destruction massive. Le 11 septembre. Le 11 septembre. Des terroristes. Les terroristes diaboliques. Des terroristes. Les terroristes le savent! Le terrorisme. Les mots sont répétés de façon hypnotique : Le terrorisme. Des terroristes. La menace terroriste. Et bien sûr, soupçonné-d-être-lié-à-Al-Qaeda.
Webster Tarpley Historien – Mais c’est la soi-disant « Guerre contre le Terrorisme » qui nous est rabâchée pratiquement 24h sur 24 et 7 jours sur 7, comme le centre d’intérêt inéluctable de notre existence. Un jour, nos petits-enfants se pencheront sur notre époque, et ils demanderont : « Comment a été gagnée la guerre contre la terreur ? » La totalité de la classe dirigeante américaine, l’élite dirigeante, en vient à voir le terrorisme comme moyen privilégié, en fait comme unique moyen d’assurer une cohésion sociale, de procurer l’image d’un ennemi à la société afin de la maintenir unie. D’après la théorie néo-con de Carl Schmitt, l’image d’un ennemi est nécessaire à l’établissement de toute société. C’est une chose très dangereuse, car cela veut maintenant dire que tout l’ordre social, les partis politiques, la vie intellectuelle, la politique en général sont tous basés sur un mythe monstrueux. Un mythe monstrueux (un écho).
Quasiment tous les suspects terroristes en détention sont libérés sans qu’aucune charge ne soit retenue contre eux… mais ils ne le sont qu’après que vous les avez vus à la Une des journaux. Menaces Terroriste… Foutaises.
Terrorisme : 2) Technique employée par les gouvernements pour manipuler l’opinion publique afin de faire avancer leur agenda.
Voix de Ted Gunderson, Former FBI Chief of LA, DALLAS & MEMPHIS Operations – Regardez, ce que la CIA a fait à ce pays. Ce qu’ils nous ont fait est incroyable. Regardez les actes terroristes qui se sont passés, LA CIA est derrière la plupart d’entre eux, sinon tous. Il y a eu la caserne de Marines (au Liban), l’ambassade au Kenya. Il y a eu le vol no 103 de la PanAm, il y a eu le USS Cole, il y a eu Oklahoma City, il y a eu le World Trade Center en 1993. …qui ont aidé des terroristes à faire sauter le World Trade Center la première fois. Ils ont fabriqué la bombe, ils ont procuré le permis de conduire. L’informateur Emad A. Salem, un ex-officier de l’armée égyptienne de 43 ans, il lui avait été donné comme mission de préparer la bombe, et il est allé voir le superviseur, le superviseur du FBI, et il lui dit : « on va mettre une fausse bombe, n’est-ce pas ? », et le superviseur de FBI lui répond : « non, on va mettre une vraie bombe ». En réalité, le FBI a perpétré l’attaque du World Trade Center en 1993. Ils ont en fait engagé Emad Salem et l’ont payé 1 million de dollars, et lui ont donné de véritables explosifs, un détonateur, et lui ont dit de confectionner une bombe et de la donner aux idiots qu’il dirigeait, pour leur permettre d’attaquer le complexe du World Trade Center. Maheureusement pour eux, seulement 6 personnes furent tuées, pas assez pour faire passer la législation. Alors ce qui se passa, c’est que deux ans plus tard, en avril 1995, l’immeuble de Murrah à Oklahoma City est abattu. 168 personnes tuées… un an plus tard, la législation anti-terrorisme, qui nous prive de tant de droits constitutionnels et de libertés civiles, est passée.
Madrid 2004
Londres, le 7/7/2005. Des bombes explosèrent dans trois stations de métro et un bus, tuant 56 personnes. Il se trouve qu’un exercice « anti-terrorisme » se déroulait ce matin-là aussi, comprenant… EXACTEMENT LE MEME SCENARIO D’ATTENTATS A LA BOMBE. AUX MEMES STATIONS DE METRO EXACTEMENT. EXACTEMENT A LA MEME HEURE. Il était 9h30 ce matin-là.
Voix de Peter Power Visor consultants emergency management – Nous conduisions en fait un exercice pour une compagnie à Londres employant plus de 1000 personnes, basé sur un cas de figure de bombes se déclenchant simultanément, précisément aux stations de métro où ça s’est passé ce matin-là, j’en ai encore les cheveux qui se hérissent.
Question d’un interviewer – Pour bien comprendre, vous conduisiez un exercice pour voir comment vous feriez face à cela, et ça s’est produit alors que vous conduisiez l’exercice ?
– Précisément. Ouais… c’est ça.
EXACTEMENT LE MEME SCENARIO D’ATTENTATS A LA BOMBE. AUX MEMES STATIONS DE METRO EXACTEMENT. EXACTEMENT A LA MEME HEURE.
David Shayler, Former british intelligence agent (MI-5) – Nous sommes censés croire que c’était une sorte de coincidence. Il y avait aussi un exercice anti-terrorisme qui se déroulait le 7 juillet. Et une fois de plus, tout comme le 11 septembre, il était question d’attaques sur les mêmes cibles, les mêmes stations de métro, au même moment exactement que les attaques réelles, offrant ainsi une sorte de couverture pour ce qui devait être des opérations orchestrées d’une manière ou d’une autre par L’Etat.
La vérité sur le 11 septembre
Des éléments criminels au sein du gouvernement américain ont mis en scène une attaque terroriste « sous faux drapeau » contre leurs propres citoyens, afin de manipuler l’opinion publique en faveur de leur agenda. Ils font ça depuis des années. Le 11 septembre était un « inside job » (un complot intérieur).
Voix de Jordan Maxwell – Je suis complètement consterné par le nombre de personnes dans ce pays qui ne réfléchissent pas. On nous fait comprendre qu’un gars arabe, là-bas dans les montagnes a financé l’attaque la plus élaborée jamais menée contre ce pays. Pensez-vous que des hommes dans une grotte aient pu faire faillir NORAD ? Pensez-vous que des hommes dans une grotte aient pu manigancer tout ça ? Et quand je pense au nombre d’Américains qui ont été tués à New York, et étant convaincu que c’était un coup monté… C’est une opération classique que les Nazis utilisaient, et ils l’ont utilisée encore et encore. L’Amérique s’est faite avoir une fois de plus.
« Network » 1976 – Je n’ai pas à vous dire que les temps sont durs, tout le monde sait que les temps sont durs. Le dollar ne vaut plus rien. Les banques font faillite. Les patrons gardent un flingue sous leur comptoir. Les voyous courent les rues. Personne nulle part ne semble savoir que faire, et ça n’en finit pas. Nous savons que notre air est irrespirable et que notre nourriture est immangeable. Nous nous asseyons devant la télé pendant qu’un présentateur de journal local nous dit qu’aujourd’hui il y a eu 15 homicides et 63 crimes violents, comme si c’était censé être comme ça ! Nous savons que les temps sont mauvais. Pires que mauvais. Ils sont fous. C’est comme si tout, partout, partait à la dérive, alors nous ne sortons plus. Nous restons assis à la maison et petit à petit le monde dans lequel nous vivons devient de plus en plus étroit. Et tout ce que nous disons c’est : « s’il vous plait, au moins laissez-nous tranquilles dans nos salons. Laissez-moi avoir mon toaster et ma télé, mes pneus radiaux, et je ne dirai rien. Laissez-nous simplement tranquilles ! » Et bien, je ne vais pas vous laisser tranquilles. Je veux que vous vous révoltiez !Je ne veux pas que vous protestiez, je ne veux pas que vous manifestiez. Je ne veux pas que vous écriviez à votre député parce que je ne sais pas quoi vous dire d’écrire. Je ne sais pas quoi faire à propos de la dépression et de l’inflation et des Russes et des crimes dans la rue. Tout ce que je sais c’est qu’avant tout, vous devez vous révolter ! Il faut que vous disiez : « je suis un être humain, bon dieu ! Ma vie a de la valeur ! »
Kevin Cosgrove, 9:55am – Il y a de la fumée – c’est vraiment grave – 105. Tour no 2. C’est vraiment grave, c’est noir, c’est sec. Ma femme pense que je vais bien. Je l’ai appelée et lui ai dit que je quittais le building. J’allais bien, et puis PAN ! Nous sommes trois – deux fenêtres cassées. Ah mon dieu ! (TSIPC.NET – Dans la vidéo, ce furent les dernières paroles de Kevin Cosgrove, que nous entendons au moment où la tour #2 s’effondre, il ne s’agit pas de l’homme sur la photo ci-haut.)
Charles Lindbergh 11 septembre 1941– « Quand les hostilités commencèrent en Europe en 1939, il était entendu que le peuple américain n’avait aucune intention d’entrer dans la guerre, mais ils estimaient que ce pays pourrait être entraîné dans la guerre pratiquement de la même manière qu’il fut entraîné dans la précédente. Ils planifièrent, en premier lieu, de préparer les Etats-Unis à une guerre étrangère, sous le masque de la défense de l’Amérique ; deuxièmement, de nous impliquer dans la guerre, pas à pas, sans que nous en ayons conscience ; troisièmement, de créer une série d’incidents qui nous forceraient à entrer réellement dans le conflit. Ces plans devaient, bien sûr, être camouflés et soutenus par toute la puissance de leur propagande.
Les actualités cinématographiques perdirent tout semblant d’objectivité, et ils utilisèrent la guerre pour justifier la restriction du pouvoir du Congrès et la mise en place de procédures dictatoriales au profit du Président et de ses attributaires. Une campagne de peur fut lancée. Nous ne pouvons permettre aux passions et aux préjugés naturels d’autres peuples de conduire notre pays à la destruction. » –